
Selon le conseiller fédéral Ignazio Cassis, l’Europe peut apporter la stabilité nécessaire à la Suisse, malmenée par le président américain imprévisible, «qui n’en fait qu’à sa tête». A propos du Proche-Orient, «ce n’est pas impossible que la Suisse reconnaisse la Palestine en septembre», même si la situation doit changer pour que cela se produise, affirme le ministre
Le chef du Département des affaires étrangères, Ignazio Cassis, critiqué par l’UDC pour son absence sur le dossier des taxes douanières américaines et pris à partie sur la situation à Gaza, s’explique. Il refuse de personnaliser l’action du Conseil fédéral et défend une autre approche, même si celle-ci est «moins sexy».
Le Temps: A la suite du camouflet de Donald Trump, l’Union européenne (UE) est-elle la solution pour la Suisse?
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