Fin du "numerus clausus" en vue avec l'adoption du projet de loi santé au parlement
Fin du "numerus clausus" pour les étudiants en médecine, hôpitaux de proximité, lutte anti-déserts médicaux: le Parlement doit adopter définitivement mardi, par un ultime vote du Sénat, le projet de loi santé, dont le système a besoin "en urgence", selon le gouvernement.
Le texte relatif à "l'organisation et à la transformation du système de santé" porté par Agnès Buzyn avait fait l'objet d'un accord entre députés et sénateurs après son adoption en mars à l'Assemblée puis dans une version différente en juin au Sénat.
Sur fond de crise dans les urgences, Mme Buzyn défend un projet de loi qui doit permettre un "meilleur accès aux soins sur le territoire", et notamment d'améliorer "l'accueil en ville en amont des urgences".