JOHANNESBURG (Reuters) - Des scientifiques sud-africains vont se réunir ce jeudi pour débattre d'une étude suggérant que la variante du coronavirus dominante en Afrique du Sud pourrait réduire de deux tiers la protection immunitaire offerte par le vaccin
PFIZER, a déclaré le ministère de la Santé.
Pour réaliser cette étude, publiée mercredi soir dans le New England Journal of Medicine, des scientifiques de
PFIZER, de son partenaire allemand BioNTech et de l'Université du Texas (UTMB) ont développé un virus génétiquement modifié contenant les mêmes mutations sur la protéine "spike" que le variant B.1.351.