Soumis à une pression certaine dans un contexte de pénurie de logements, les locataires sont en quête de souplesse financière. La garantie de loyer peut constituer un frein. Céline Frey, directrice de Firstcaution, challenger du géant SwissCaution, en a fait son cheval de bataille
Ce n’est un secret pour personne, le marché locatif subit actuellement un climat de pénurie des plus marqués. Dans certains cantons et au sein des grandes agglomérations, le taux de vacance atteint d’ailleurs des niveaux historiquement bas. Dans ce contexte, faciliter l’accès au logement constitue une priorité pour des locataires en quête de processus administratifs et financiers à la fois simplifiés et rapides. Autrefois considérée par de nombreuses personnes comme un frein, voire un véritable handicap financier, la problématique du dépôt de garantie de loyer a en partie été résolue par les offres d’assurance proposées par les deux principaux acteurs helvétiques du secteur. On en parle avec la CEO de l’un d’entre eux, Céline Frey, à la tête de Firstcaution.
Le Temps: En quoi la garantie de loyer en dépôt peut-elle constituer un obstacle à l’accès au logement?
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