Aux assises, il se revoit "en train de rire comme un fou" après son meurtre
Les mains ensanglantées, il s'est mis à "rire comme un fou". Au deuxième jour de son procès devant la cour d'assises de Savoie, un étudiant de 24 ans est froidement revenu sur l'assassinat en 2015 d'un homme sans domicile fixe.
Extrait du box sous escorte pénitentiaire, Adrien Bottollier n'a pas tremblé une fois devant la cour et les jurés.