Au Nigeria, la lente disparition des scarifications rituelles
Lorsque Naziru Abdulwahab, six ans, a été enlevé dans le nord du Nigeria, son ravisseur l'a emmené à l'autre bout du pays pour le vendre. Mais l'acheteur s'est finalement rétracté.
Ce qui a sauvé le petit garçon des réseaux de trafics d'enfants, selon la police, ce sont les scarifications rituelles qu'il porte sur les joues depuis la naissance: le client a craint qu'elles ne permettent de l'identifier.