Au Cambodge, des ventres à louer en toute illégalité pour des couples chinois
Dans une maison près de Phnom Penh, Yin, 24 ans, porte depuis quatre mois dans son ventre un enfant pour un couple chinois. Dans quelques semaines, elle s'envolera en Chine pour accoucher, par crainte des autorités cambodgiennes qui font la chasse aux mères porteuses.
En Chine, quelque 90 millions de femmes, autorisées à avoir un second enfant depuis l'assouplissement de la politique de l'enfant unique, sont souvent trop âgées pour le faire naturellement.