Après Gênes, les bâtisseurs de ponts et routes contre-attaquent
Un peu plus d’un mois après l’effondrement du viaduc de Gênes, la ministre des Transports Elisabeth Borne a annoncé vouloir investir 13,4 milliards d'euros dans les réseaux ferroviaires, routiers et autres modes de déplacements entre 2018 et 2022. Soit 30% de crédits en plus par rapport à la période 2013-2017. Les professionnels des travaux publics routiers, eux, ne se satisfont guère de cet engagement.