Le constructeur ferroviaire français
ALSTOM a commencé à douter publiquement jeudi quant au succès de sa fusion envisagée avec les activités mobilités de l'allemand
SIEMENS, estimant qu'il n'y avait "pas de certitude" que la Commission européenne autorise l'opération.
Ces propos interviennent au moment où le gouvernement français met sous pression la Commission, estimant que refuser cette opération serait "une erreur économique et une faute politique".
Alstom et
SIEMENS ont proposé des cessions d'actifs à la Commission européenne, qui s'inquiète de la position dominante que le nouvel ensemble aurait dans la signalisation ferroviaire et les trains à grande vitesse.