Affaire Bygmalion: comment la cour d'appel justifie le renvoi de Nicolas Sarkozy en correctionnelle
Nicolas Sarkozy "a été le décideur des événements": pour la cour d'appel de Paris, l'ex-chef de l'Etat ne pouvait ignorer le dérapage financier de sa campagne présidentielle de 2012, justifiant son renvoi en correctionnelle confirmé le 25 octobre dans un arrêt dont a eu connaissance l'AFP.
Au total, quatorze protagonistes doivent être jugés dans ce dossier: d'anciens cadres de l'UMP (devenu Les Républicains), des responsables de la campagne, des dirigeants de l'agence de communication Bygmalion et des experts-comptables.
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