Comportements sexistes, discrimination, plaintes ignorées: des employées d'
UBISOFT Montréal, qui se présente comme le "plus grand studio de jeux vidéo au monde", racontent un "climat de terreur" alors que le groupe français se débat dans un scandale de harcèlement sexuel.
Travailler sur "Far Cry m'a valu deux burn-out, du harcèlement psychologique, sexuel, du sexisme, de l'humiliation, et jamais les ressources humaines n'ont daigné m'écouter", écrit à l'AFP une ex-employée, souhaitant rester anonyme.
Elle a planché plusieurs années sur cette célèbre franchise du groupe, un jeu de tir dans un monde ouvert à l'ambiance tropicale, développé dans les locaux en brique rouge des studios d'
UBISOFT à Montréal.