Après la réforme du code du travail par ordonnances, la ministre du Travail Muriel Pénicaud lance le volet "sécurisation" du programme présidentiel. La formation professionnelle, aux rouages trop complexes, est remise à plat. Pour nourrir le projet de loi, syndicats et organisations patronales vont tenter d'aboutir à un accord national interprofessionnel (ANI) d'ici fin janvier 2018.