La vue ne suffit pas. Sous le titre « Ce que le paysage doit à la nuit », la journée d’échanges l’a démontré, le 16 janvier à la Défense, à l’initiative du ministère de la Transition écologique et solidaire, et en partenariat avec le Centre national de la recherche scientifique. Bien au-delà du thème de la nuit, la première « journée paysage » de l’année a marié le poly-sensoriel et le pluridisciplinaire, pour mettre en lumière les côtés obscurs de la perception de l’espace.