Victimes collatérales de la guerre commerciale, les spiritueux veulent éviter la gueule de bois
BOURBON du Kentucky, whisky d'Ecosse et peut-être bientôt cognac français, se retrouvent bien malgré eux pris dans la tourmente de la guerre commerciale. De rencontres en soirées-cocktails, les représentants du secteur des spiritueux tentent au maximum de passer entre les gouttes.
"Jamais je n'aurais imaginé que l'industrie américaine du whisky puisse être touchée par des mesures de représailles à des taxes touchant l'acier et l'aluminium", se désole Amir Peay, patron de la distillerie James E.