Malgré une croissance organique plus forte que prévue du chiffre d'affaires au deuxième trimestre et la confirmation d'une accélération de la dynamique au second semestre, cet acteur mondial de la communication continue d'être boudé en bourse. A 13,6 et 12,5 fois les profits pour cette année et 2018, le titre est pourtant beaucoup moins cher que son concurrent, Havas. Un bonus cappé permet de faire fi du manque de catalyseurs sur la valeur et de pouvoir gagner 13,5% en l'espace de 11 mois sans prendre trop de risques.