La surveillance d’internet, confirmée par une enquête du média Republik, n’est pas absolue. De plus en plus d’outils et services grand public offrent des protections contre les regards indiscrets
Peut-on se protéger sur internet contre la surveillance du réseau câblé opérée par les services secrets suisses et étrangers? C’est la question qui s’impose à la lecture de l’enquête du média Republik que Le Temps a publié mardi 9 janvier. Et la réponse est oui, en grande partie.
Rappelons les bases. Pour analyser le trafic internet, les agences de renseignement doivent accéder aux infrastructures physiques qui acheminent les paquets de données qui relient nos appareils de communication. En pratique, elles exigent généralement des fournisseurs d’accès à internet qu’ils leur donnent un point d’entrée au sein de leur réseau.
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