par Mathieu Rosemain et Gwénaëlle Barzic
PARIS (Reuters) - Nokia prévoit de supprimer 1.233 postes au sein de sa filiale Alcatel-Lucent International en France, soit environ un tiers des effectifs de cette entité, a annoncé le groupe lundi, confirmant des informations de Reuters.
L'équipementier télécoms finlandais, qui a pour concurrents Ericsson et Huawei, affirme être désormais totalement libéré des engagements pris, notamment en termes d'emplois, lors du rachat d'Alcatel-Lucent.
Ces suppressions de postes concernent la recherche et développement (R&D) et les fonctions centrales sur les sites de Paris-Saclay et de Lannion (Côtes d'Armor) mais pas les trois filiales françaises Radio Frequency Systems (RFS), Nokia Bell Labs France (NBLF) et
ALCATEL LUCENT Submarine Networks (ASN), a précisé le groupe dans un communiqué.