Entre le buis et la pyrale importée d’Extrême-Orient à la faveur de la mondialisation du marché des végétaux, la régulation naturelle finira par imposer son équilibre et ses cycles. Directeur scientifique et technique de l’institut technique de l’horticulture Astredhor, Fabien Robert considère ce scénario comme le plus probable. Il a dressé un bilan d’étape des quatre premières années du programme de recherches Save Buxus, le 30 janvier à Paris, à l’invitation du pôle paysage de la fédération nationale des producteurs horticulteurs pépiniéristes (FNPHP).