Les lanceurs d’alertes, une protection en question
Il y a un an, la Cour de cassation ouvrait la voie à une protection réelle des lanceurs d’alerte, en cas de licenciement par leur entreprise, suivie de la loi Sapin II. Le scandale sanitaire, dénoncé le 29 juin par un ancien sous-traitant d’ArcelorMittal depuis limogé, interroge désormais l’effectivité de ce principe.