Les investisseurs asiatiques, coréens en tête, ont de l’appétit pour BruxellesS’il ne fallait retenir que deux chiffres de la bonne santé d’un marché immobilier, ce serait la prise en occupation, qui traduit le dynamisme des sociétés publiques ou privées et le montant investi. Il fut un temps où la Belgique, Bruxelles en particulier, se gaussait du premier chiffre. C’est qu’avec l’Europe et ses acolytes, cette prise en occupation était florissante (550 000 m²/an en moyenne depuis 2000). Jusqu’en… 2008 où la moyenne est, depuis, tombée à près de 400 000 m². C’est alors que les courtiers se sont tournés vers le second chiffre : les milliards investis dans les bureaux, magasins, entrepôts… !
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