PARIS (Reuters) - Le président du Sénat, Gérard Larcher, dit dans une interview à paraître samedi ne pas être favorable au référendum d'initiative partagée contre la privatisation d'
ADP (ex-Aéroports de Paris), estimant que le geste n'est pas fidèle à la constitution.
Des députés et sénateurs socialistes, Républicains, France insoumise, communistes et du groupe Libertés et territoires - 248 au total selon un comptage réalisé mercredi par le PS - ont donné leur feu vert mardi à cette procédure complexe et encore inusitée contre un élément phare de la loi Pacte.
"Est-ce que le référendum d’initiative partagée (RIP) peut être utilisé par une minorité pour s’opposer, en cours d’examen d’un texte, au vote d’une majorité?