PARIS (Reuters) - Le géant français du nucléaire
AREVA, devenu Orano, a été mis en examen lundi à Paris pour "blessures involontaires" dans l'enquête sur l'enlèvement en 2010 de cinq Français à Arlit (Niger) revendiqué par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), rapportent jeudi l'AFP et Le Parisien-Aujourd'hui en France.
Il est reproché à
AREVA d'avoir sous-estimé le risque d'attaques d'Aqmi contre le site d'uranium d'Arlit et de pas avoir mis en place les mesures de sécurité nécessaires pour ses employés.
Au total, sept expatriés étrangers, dont les cinq Français, avaient été enlevés à Arlit.